Le texte que vous avez cité fait référence à l'ouvrage de Marcel Mauss intitulé "Essai sur le don : Forme et raison de l'échange dans les sociétés archaïques". Dans cet essai, Mauss examine les pratiques d'échange dans les sociétés traditionnelles, en se concentrant sur le concept de don et contre-don.
What is the archaic societies about?Mauss soutient que les échanges de biens et de services dans ces sociétés ne sont pas simplement des transactions économiques, mais sont plutôt des actes sociaux et culturels qui renforcent les liens sociaux entre les individus et les groupes. Les dons sont souvent accompagnés d'attentes de contre-dons, ce qui crée un cycle d'échange continu qui lie les individus et les groupes.
Dans le texte cité, l'auteur met en évidence le lien entre la capacité à "traiter" avec l'étranger et la stabilisation des rapports sociaux, en particulier dans le contexte de la guerre et de la paix. Il suggère que les sociétés ont progressé en apprenant à donner, recevoir et rendre, ce qui leur a permis de développer des relations pacifiques et des échanges mutuellement bénéfiques.
En fin de compte, le texte souligne l'importance de l'échange et du partage dans la construction de sociétés stables et harmonieuses, et suggère que ces principes s'appliquent également aux relations entre classes et nations dans le monde moderne.
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#SPJ1
See text below
Deux groupes d'hommes qui se rencontrent ne peuvent que : ou s'écarter - et, s'ils se marquent une méfiance ou se lancent un défi, se battre - ou bien traiter. Jusqu'à des droits très proches de nous, jusqu'à des économies pas très éloignées de la nôtre, ce sont toujours des étrangers avec lesquels on << traite »>, même quand on est allié. Les gens de 5 Kiriwina dans les Trobriand dirent à M. Malinowski1 : << Les hommes de Dobu ne sont pas bons comme nous; ils sont cruels, ils sont cannibales ; quand nous arrivons à Dobu, nous les craignons. Ils pourraient nous tuer. Mais voilà, je crache de la racine de gingembre, et leur esprit change. Ils déposent leurs lances et nous reçoivent bien. >> Rien ne traduit mieux cette instabilité entre la fête et la guerre.
10 [...] C'est en opposant la raison et le sentiment, c'est en posant la volonté de paix contre de brusques folies de ce genre2 que les peuples réussissent à substituer l'alliance, le don et le commerce à la guerre et à l'isolement et à la stagnation.
Voilà donc ce que l'on trouverait au bout de ces recherches.
Les sociétés ont progressé dans la mesure où elles-mêmes, leurs sous-groupes et enfin 15 leurs individus, ont su stabiliser leurs rapports, donner, recevoir, et enfin, rendre. Pour com- mercer, il fallut d'abord savoir poser les lances. C'est alors qu'on a réussi à échanger les biens et les personnes, non plus seulement de clans à clans, mais de tribus à tribus et de nations à nations et - surtout - d'individus à individus. C'est seulement ensuite que les gens ont su se créer, se satisfaire mutuellement des intérêts, et enfin, les défendre sans 20 avoir à recourir aux armes. C'est ainsi que le clan, la tribu, les peuples ont su - et c'est ainsi
que demain, dans notre monde dit civilisé, les classes et les nations et aussi les individus, doivent savoir - s'opposer sans se massacrer et se donner sans se sacrifier les uns aux autres. C'est là un des secrets permanents de leur sagesse et de leur solidarité.
Il n'y a pas d'autre morale, ni d'autre économie, ni d'autres pratiques sociales que celles-là.
texte ECHO
2 Traiter avec l'étranger, Mauss
Dans cette étude ethnologique, Marcel Mauss analyse le lien entre don et contre-don dans les sociétés traditionnelles polynésiennes, mélanésiennes et américaines.
need help with my french hw. Literally have no idea how to start.
Answer:
1) vais
2) ont
3) sommes
4) avez
5) ons and de
6) vais
7) ont
Explanation:
I think it's verbs up to You if you Want to usé this
ome people have things that others do not. Complete these sentences with the correct forms of avoir. 59. -Est-ce que Sarah et Thomas des devoirs? -Oui. Mais nous, nous n' pas de devoirs. 60. -Pierre un chien (dog). Et toi? -Non, je n' pas de chien. Je suis allergique. 61. -tu une bourse? -Moi, non. Mais vous deux, vous une bourse, n'est-ce pas?
Answer: so for this question, I shall give you a simple way to understand it. what I shall use and apply it to the others
Explanation: for example;
J'ai un chien= i have a dog
so avoir simply means to have
thankyou very much for this question i had fun unswering you
Answer:
Est-ce-que Sarah et Thomas ont des devoirs ? Oui
Mais nous, nous n'avons pas de devoir.
60 Pierre a un chien. et toi ?
Non je n'ai pas de chien.Je susi allergique.
61. Tu as une bourse ?
Moi non j'en ai pas.
Mais vous deux vous en avez une , n'est-ce pas ?
Explanation:
3 Dans les phrases suivantes, entourez le pronom relatif, soulignez son antécédent, puis mettez
entre crochets la proposition subordonnée relative.
1. Derrière un rideau se trouvait une porte secrète qui donnait sur des escaliers.
2. Léo a remis à son professeur un devoir à son nom qu'il avait en fait copié sur un camarade.
3. Peut-être pouvons-nous faire une halte chez vous qui habitez à deux pas?
4. La Provence est une région (où il fait bon vivre toute l'année.
5. Les eaux du lac au fond duquel la barque avait sombré étaient particulièrement froides.
Svp merci
Derrière un rideau se trouvait une porte secrète [qui donnait sur des escaliers].
Pronom relatif : qui
Antécédent : une porte secrète
Proposition subordonnée relative : qui donnait sur des escaliers
Léo a remis à son professeur un devoir à son nom [qu'il avait en fait copié sur un camarade].
Pronom relatif : qu'
Antécédent : un devoir à son nom
How to explain the pronounProposition subordonnée relative : qu'il avait en fait copié sur un camarade
Peut-être pouvons-nous faire une halte chez vous [qui habitez à deux pas]?
Pronom relatif : qui
Antécédent : vous
Proposition subordonnée relative : qui habitez à deux pas
La Provence est une région [où il fait bon vivre toute l'année].
Pronom relatif : où
Antécédent : une région
Proposition subordonnée relative : où il fait bon vivre toute l'année
Les eaux du lac au fond duquel la barque avait sombré étaient particulièrement froides.
Pronom relatif : duquel
Antécédent : le fond du lac
Proposition subordonnée relative : duquel la barque avait sombré
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#SPJ1
Conjuguez le verbe avoir pour compléter la phrase.
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J'___ des stylos dans mon sac à dos.
Answer: J'ai des stylos dans mon sac à dos.
Explanation:
Essai sur L’image de la femme d’autre fois et l’image de la femme d’aujourd’hui
Ask the questions that correspond to the answers. Use est-ce que/qu’ and inversion for each item
The questions that correspond to the answers are Est-ce qu'il mange à la cantine? /Mange-t-il à la cantine?, and Est-ce que François déteste les maths? /François déteste-t-il les maths?.
How to write questions in French?In this case, there are two possible structures to write questions:
Est-ce que + subject + verb + complementVerb + subject + complementBased on this, the possible questions are:
Est-ce qu'il mange à la cantine? or Mange-t-il à la cantine?Est-ce que François déteste les maths? /François déteste-t-il les maths?Note: This question is incomplete; here is the missing information:
Il mange à la cantine.François déteste les maths.Learn more about questions in https://brainly.com/question/28966274
#SPJ1
2. Un dispositivo móvil diseñado y construido por los alumnos de física es autopropulsado por la corriente de aire que sale de un globo inflado. Calcula la fuerza que impulsa hacia adelante al dispositivo si partiendo del reposo alcanza una velocidad de 3 m/s en un tiempo de 5 segundos. Calcula también la fuerza de reacción que ejerce el piso sobre las llantas del dispositivo si la masa de este es de 4 kilogramos. No consideres la fricción entre el piso y las llantas del dispositivo. Calcula nuevamente los valores anteriores si los alumnos deciden agregar al móvil un pasajero con masa igual a 0. 5 kg y compara los resultados
Bonjour j'ai besoin d'aide pour répondre aux questions (tout en bas de la page) a partir du texte ci-dessous. Ce texte viens de "La curée" D'Emile Zola
désolé pour les grosses fautes j'ai utilisé apple pour copier coller le texte
Merci d'avance
Le bal costumé bat son plein chez les Saccard. Rente vient d'apprendre que Maxime va se marier. Consternée, elle l'entraine dans sa chambre. Mais Sidonie le remarque et prévient Aristide, qui surprend les deux amants enlacés. Furieux, il se calme soudain en voyant que sa femme a signt l'acte de vente de sa dernière propriétt. Il sen empare et quitte la pièce avec son fils. Rente se retrouve seule, humilite et désespérte.
Elle s'aperçut dans la haute glace de l'ar-moire. Elle s'approcha, étonnée de se voir, oubliant son mari, oubliant Maxime, toute préoccupée par l'étrange femme qu'elle avait devant elle. La folie montait. Ses cheveux jaunes, relevés sur les tempes et sur la nuque, lui parurent une nudité, une obscénité. [...]
Qui l'avait mise nue ? Que faisait-elle dans ce débraillé de fille qui se découvre jusqu'au ventre? Elle ne savait plus. Elle regardait ses cuisses que le maillot arrondissait, ses hanches dont elle suivait les lignes souples sous la gaze, son buste largement ouvert; et elle avait honte d'elle, et un mépris de sa chair l'emplissait d'une
* sourde colère contre ceux qui la laissaient ainsi, avec de simples cercles d'or aux chevilles et aux poignets pour lui cacher la peau. [...]
tiroir, 1936, huile sur toile, 110,3 x 138,2 cm, coll. privée.
Et, dans l'ombre bleuâtre de la glace, elle crut voir se lever les figures de Saccard et de Maxime.
Saccard, noirâtre, ricanant, avait une couleur de fer, un rire de tenaille, sur ses jambes grêles*. Cet homme était une volonté. Depuis dix ans, elle le voyait dans la forge, dans les éclats du métal rougi, la chair brûlée, haletant, tapant toujours, soulevant des marteaux vingt fois trop lourds pour ses bras, au risque de s'écraser
nts du ent
lui-même. Elle le comprenait maintenant; il lui apparaissait grandi par cet effort : surhumain, par cette coquinerie énorme, cette idée fixe d'une immense fortune
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immédiate. Elle se le rappelait sautant les obstacles, roulant en pleine boue, et ne prenant pas le temps de s'essuyer pour arriver avant l'heure, ne s'arrêtant même pas à jouir en chemin, mâchant ses pièces d'or en courant. Puis la tête blonde et jolie de Maxime apparaissait derrière l'épaule rude de son père : il avait son clair
*. sourire de fille, ses yeux vides de catin® qui ne se baissaient jamais, sa raie au milieu du front, montrant la blancheur du crâne. Il se moquait de Saccard, il le trouvait bourgeois de se donner tant de peine pour gagner un argent qu'il mangeait, lui, avec une si adorable paresse. Il était entretenu. Ses mains longues et molles contaient ses vices. Son corps épilé avait une pose lassée de femme assouvie. Dans tout cet être lâche et mou, où tout le vice coulait avec la douceur d'une eau tiède,
en
1 dans
ne luisait pas seulement l'éclair de la curiosité du mal. Il subissait. Et Renée, en regardant les deux apparitions sortir des ombres légères de la glace, recula d'un pas, vit que Saccard l'avait jetée comme un enjeu, comme une mise de fonds, et que Maxime s'était trouvé là, pour ramasser ce louis tombé de la poche du ..spéculateur. Elle restait une valeur dans le portefeuille de son mari; il la poussait aux toilettes d'une nuit', aux amants d'une saison; il la tordait dans les flammes de sa forge, se servant d'elle, ainsi que d'un métal précieux, pour dorer le fer de ses mains. Peu à peu, le père l'avait ainsi rendue assez folle, assez misérable, pour les baisers du fils. Si Maxime était le sang appauvri de Saccard, elle se sentait, elle, le produit, le fruit véreux® de ces deux hommes, l'infamie qu'ils avaient creusée entre eux, et dans laquelle ils roulaient l'un et l'autre.
Elle savait maintenant. C'étaient ces gens qui l'avaient mise nue. Saccard avait dégrafé le corsage, et Maxime avait fait tomber la jupe. Puis, à eux deux, ils venaient d'arracher la chemise. À présent, elle se trouvait sans un lambeau, : avec des cercles d'or, comme une esclave. Ils la regardaient tout à l'heure, ils ne lui disaient pas : « Tu es nue. » Le fils tremblait comme un lâche, frissonnait à la pensée d'aller jusqu'au bout de son crime, refusait de la suivre dans sa passion.
Le père, au lieu de la tuer, l'avait volée; cet homme punissait les gens en vidant leurs poches [...]. C'étaient des lâches. Ils l'avaient mise nue.
Questions :
2) Pourquoi Renée est-elle « étonnée » de voir une « étrange femme » ?
3) Quelle image a-t-elle d'elle-même dans cet extrait ?
Procédez à une comparaison avec l'incipit.
4) Quels sentiments Renée éprouve-t-elle envers les
deux hommes ? Expliquez.
5) Montrez que père et fils sont présentés à la fois
comme semblables et opposés.
6) a. Quelle métaphore filée est utilisée pour évoquer
Saccard ? À quel extrait cela vous fait-il penser ?
b. De quel dieu antique Saccard est-il rapproché ?
Renée est étonnée de voir une « étrange femme » car cette dernière ne correspond pas aux critères de beauté et d'élégance qu'elle a l'habitude de côtoyer dans son milieu social.
3 Dans cet extrait, Renée a une image d'elle-même assez négative. Elle se décrit comme une « vieille femme », « usée », « fanée », « écrasée », « méconnaissable ». En comparaison avec l'incipit, où elle était décrite comme « jeune et jolie », on peut voir que le temps a eu un impact important sur elle et que son image de soi a été affectée.
4 Renée éprouve des sentiments ambivalents envers les deux hommes. Elle est émue par la tendresse et la préoccupation que montre son fils pour elle, mais elle est également bouleversée par la rencontre avec Saccard, qui réveille en elle des souvenirs de sa jeunesse et de ses passions passées.
5 Le père et le fils sont présentés à la fois comme semblables et opposés. Ils partagent une certaine ressemblance physique, mais leur personnalité et leur relation avec Renée sont très différentes. Le père est présenté comme protecteur et bienveillant, tandis que le fils est plus distant et pragmatique.
6 a. Saccard est comparé à un faune, une métaphore filée qui souligne son caractère séducteur et sa nature animale. Cette métaphore évoque l'extrait de l'incipit où Renée se décrit comme « une nymphe s'élançant d'un buisson », soulignant ainsi le contraste entre la jeunesse et la vitalité de Renée à l'époque et son vieillissement et son déclin actuels.
b. Saccard est rapproché de Dionysos, le dieu grec de la fertilité et de la nature sauvage, qui est également associé à la folie et à l'excès. Cette comparaison souligne le caractère excessif et passionné de Saccard, ainsi que sa nature indomptable et sauvage.
What is the text about?Dans ce passage de "La Curée" d'Emile Zola, Renée se trouve dans sa chambre après avoir appris que Maxime va se marier. Sidonie prévient Aristide qui surprend les deux amants enlacés. Aristide se calme en voyant que Renée a signé l'acte de vente de sa dernière propriété. Renée se retrouve seule, humiliée et désespérée.
Elle se regarde dans le miroir et est horrifiée par son apparence débraillée et presque nue. Elle se rappelle alors des figures de Saccard et de Maxime, qui apparaissent devant elle. Saccard, noirâtre, ricanant, avait une couleur de fer, un rire de tenaille, et était une volonté. Elle le comprenait maintenant ; il lui apparaissait grandi par cet effort surhumain, par cette idée fixe d'une immense fortune immédiate.
Elle se rappelait sautant les obstacles, roulant en pleine boue, et ne prenant pas le temps de s'essuyer pour arriver avant l'heure, ne s'arrêtant même pas à jouir en chemin, mâchant ses pièces d'or en courant. Puis la tête blonde et jolie de Maxime apparaissait derrière l'épaule rude de son père.
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Svp de laide
Pour cette exercice 14 merci